Du 20 au 25 août 2017, 22 étudiants internationaux ont suivi, quelques jours avant la rentrée officielle, le module d'intégration sur le campus Arts et Métiers de Cluny. Retour sur leur expérience après un mois de scolarisation en France.
Une initiation à la culture Française
Du 20 au 26 août 2017, quelques jours avant la rentrée officielle, Arts et Métiers a convié 22 étudiants internationaux à une semaine d’intégration à la vie et à la culture française. Au programme de cette semaine d'immersion : des ateliers de réflexions et d’échanges avec des enseignants et des formateurs du Centre de Conférences Internationales de Cluny. Ils ont également pu visiter l’Institut Image et Nicéphore Cité à Chalon-sur-Saône. Enfin, la visite de l’Abbaye et les activités du campus de Cluny n'ont plus de secret pour eux.
Un partenariat solide
Pour la 8e année consécutive, l’Institut d’Optique a réaffirmé sa confiance en ce programme d'intégration en envoyant sur le campus Arts et Métiers de Cluny leurs étudiants internationaux. La cuvée 2017 représente 22 étudiants provenant de Pologne, de République Tchèque, de Hongrie, de Chine, du Brésil et de la Colombie. Neuf d'entre eux sont sur le campus Arts et Métiers de Cluny, six à Paris et un à Aix-en-Provence, tandis que six autres ont rejoint les bancs de l'Institut d'Optique.
Cette dynamique s’appuie sur les 170 partenariats que l’école a noués avec des établissements prestigieux, dans environ 50 pays. La notoriété à l'internationale d'Arts et Métiers et le réseau d'anciens élèves étrangers ayant expérimenté le module d'intégration ont motivé Jan Jacek, de l'univerité de Lodz, Carolina Vénégas de l'université EIA , Daniel Duque et Camilo Patino de l'Université Nationale de Colombie à poursuivre leurs études dans le domaine de l'ingénierie et à s’engager dans un double diplôme.
J'ai décidé d'apprendre le français afin d'entrer aux Arts et Métiers. Jan Jaceck
Après le double diplôme
Une fois son double diplôme en poche, Camilo souhaite se spécialiser et poursuivre par un doctorat en France ou aux États-Unis.
Daniel, lui, compte passer deux ans en France pour travailler chez Airbus. Fort de son expérience, il retournera en Colombie pour monter sa propre entreprise et créer de l’emploi dans son pays qui souffre du chômage.
Carolina retournera également en Colombie pour défendre le métier d’ingénieur, peu reconnu dans ce pays. Véritable ambassadrice, elle veut faire changer les mentalités et aider son pays à se développer.
Quant à Jan, il souhaite poursuivre à l'International dans le domaine de l'aéronautique avant d'envisager travailler dans son pays.